Il fait bien frais ce matin lorsque nous nous retrouvons à 6 h45, ce n’est pas habituel pour une journée d’été et si certaines apprécient, d’autres se posent des questions : ai-je pris assez de vêtements chauds ? C’est en compagnie de Pénélope, la jolie petite chienne toute blanche de Babette que nous remplissons la voiture, en direction de la Chaud où nous y retrouvons Yolande. Bien chaudement vêtues sans oublier les gants, nous entamons la montée vers le Piquet de Nantes, la pente est régulière et les quelques pauses se font au soleil dès que celui -ci veut bien se montrer car la brise est là. Anne bientôt nous rejoint et nous sommes 7 maintenant à déambuler vers la crête. Un AR vers le Piquet de Nantes ne nous permet pas la photo du panorama d’ordinaire si grandiose car l’ambiance est brumeuse et limitée certainement due à la chaleur des jours précédents.

Peu importe, nous continuons notre chemin sur la crête bien agréable jusqu’au Tabor, quelques centaines de mètres plus haut où nous pourrons casser la croute bien à l’abri avec la vue sur le Taillefer et au loin, on devine les aiguilles d’Arve.

Bientôt, on laisse la place aux groupes qui arrivent car on préfère aller paresser au lac Charlet et se tremper les pieds tout en observant les têtards et les tritons.

Pour répondre aux questions du jour: les tritons mangent les têtards donc ce ne sont pas les mêmes bébêtes…

Nous reprenons notre descente après une halte rafraichissante et apaisante mais nous retrouvons vite la chaleur sur la piste déboisée, heureusement le raccourci en forêt nous mène directement au parking. Pas besoin de chercher un lieu pour se désaltérer, le bar de la station nous tend les bras et nous y apprécions ce moment de détente à l’ombre avant de rejoindre la ville par la descente de Laffrey même pas encombrée.

Bravo Pénélope, et merci à mes compagnes du jour: Danièle, Agnès, Yolande, Marie-Pierre, Anne et Babette.

Martine

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