Quinze courageux volontaires sont arrivés au chalet dès 9 h pour travailler.
Exceptionnellement cette année, il est inutile de manipuler tronçonneuses, haches, coins car le bois est déjà rangé dans la réserve. L’hiver peut arriver, nous sommes prêts. En effet, en juillet, une journée de travail a été opérationnelle.
Un groupe s’est tout de même affairé autour du bois. Les rondins ont été déplacés sur une assise en bois pour limiter l’humidité et une grande bâche donnée par Daniele et José recouvre le tout. Quelques incorruptibles n’ont pu s’empêcher de tronçonner quelques dailles. « Ce qui est fait n’est plus à faire » n’est-ce-pas ?
Anne-Marie, en gentlewoman hors-pair a passé la débroussailleuse en long et en large.
Alain a commencé la restauration des volets.
Et à l’intérieur la fourmilière s’activait aussi : la literie lavée, les couvertures secouées, les lits refaits, les vitres lavées, l’aspirateur passé… les coins et les recoins décapés.
Suzel et Isabelle ont terminé des travaux de peinture. Christine a fait un travail de patience super. Elle a reclassé les TPH qui étaient en vrac. Il n’en manque qu’un seul mais je ne sais plus lequel.
Par contre les travaux pour la terrasse n’ont pas été mis en œuvre, ce sera un chantier à organiser au printemps avec de la main-d’œuvre et une météo favorable.
En fin d’après-midi en attendant l’apéritif et le repas, certaines ont fait un petit tour à la recherche de champignons.
La journée s’est déroulée dans une ambiance agréable et joyeuse. Chacun a trouvé sa place sans difficulté. Nous avons terminé la journée par un repas offert par le club accompagné bien sûr par la ronde des desserts.
Nous avons eu le plaisir de faire connaissance avec l’adjoint du major au poste militaire. Il est venu nous prêter main-forte et nous le remercions.
Nous n’avons pas jugé utile de faire une deuxième journée de travail. Nous remercions tous les travailleurs du jour et nous excusons auprès de ceux qui avaient prévu de venir dimanche.
Il y a encore du travail à venir pour tout le monde.
Agnès