Au rendez-vous
à 7h30 à Vizille Martine, Danielle, Agnès, Babeth, Jean Pierre, Jean François,
Chantal.
Sans oublier Alain qui a fait taxi et à qui nous souhaitons de se rétablir rapidement.
Jean François est mon « invité », il connait le chalet ayant manié la
tronçonneuse pour la fête du bois et a participé à mes « privatives »
réservations pour accueillir famille et amis. A nous de lui faire découvrir les
randos du dimanche mais également l’esprit TPH.
Les 2 camions (le blanc et le rouge) montent au col du Glandon. Le choix du
départ avec options, soit traversée depuis le col ou soit bonus dénivelé dans
une épingle plus bas pour suivre le torrent est mis au vote. Je ne comprends
pas pourquoi le bonus dénivelé n’a pas fait l’unanimité. Enfin si, en y
réfléchissant, TPH ne veux pas dire TPB !
Dans la première phase de montée, Agnès est la seule à repérer le panneau Mont
Sambuy par la passerelle. Nous traverserons donc un peu plus haut sur un névé
et admirons au fur et à mesure de la montée les lacs de fonte et notre
itinéraire de retour (baignade promise).
L’ascension du Sambuy n’est pas difficile mais mérite qu’on soit attentif à son
cheminement. Bâtons appréciés pour les équilibres entre piles de pierres plus
ou moins stables. Jean Pierre prendra le temps de construire quelques cairns
monolithiques artistiques. Jef encouragera Agnès.
Au sommet, nous nous arrêtons devant la paire de skis géante qui a dû détrôner
l’habituelle croix. Les temps changent, les dieux du ski auraient-ils détrôné
les barbus de tout poil ?
L’équipe incomplète pose devant l’œuvre, Martine et JPP cherchant le coin piquenique
ou le meilleur point de vue ? Nous ouvrons le « trésor » caché sous l’œuvre
dans laquelle a été déposé une carte d’orientation et le 4ème livre d’or. Le
TPH aura sa griffe.
Piquenique un peu à l’abri du vent, le soleil est là mais les pulls sont
appréciés (pour ceux qui en ont). On n’a jamais laissé un distrait geler sur
place et du XS peut être converti en XL moyennant quelques adaptations.
Martine et moi bataillons encore avec AlpinQuest et nos smartphones qui
s’obstinent à nous faire des tracés rectilignes. Jean Pierre fait le SAV. Pas
encore convaincue par la précision des Topo Maps. Il paraîtrait qu’il y a des
astuces pour récupérer les IGN.
Retour par le lacs du Sambuy (je ne faillirai pas à ma réputation de
jurassienne ne connaissant que l’eau froide) puis le lac de la Croix. Agnès
nous donnera une occasion de nous exercer aux gestes de premiers secours en cas
de « bobos » (j’espère que notre diagnostique fut bon).
Tout le retour de la rando se fera à jouer à traverser le Glandon. Pour sûr,
nous n’avons pas glandé, option névé ou terre ferme, jeu d’équilibre entre les
blocs de pierres striées ou marbrées ou sentier.
Belle journée qui finira chez le Hollandais à Allemont, à l’ombre et devant une
bière ou une limonade, car en redescendant nous avons retrouvé les Celsius.
A très bientôt
Chantal rédactrice occasionnelle